2012-05-29
A "transparência" de Cavaco Silva
"Apreciei" que Cavaco Silva lá nas suas andanças pelo Oriente não tinha querido falar do caso Miguel Relvas directamente, embora fosse falando para o minorar.
Primeiro, dizendo que se tratava de questiúnculas político-partidárias. Depois, avançou uns decímetros e disse tudo que se vai resolver de forma transparente.
E aqui chegados, interrogo-me francamente e com preocupação.
De que conceito de transparência falava Cavaco Silva?
Do de Cavaco Silva? Se é, estamos entendidos.
Pois até hoje não percebi a transparência que houve no célebre processo das escutas de Belém. Mais opaco que aquele processo dificilmente pode haver outro. Um assessor mudou de poiso.
Miguel Relvas de algum modo também está relacionado com espiões, o que implica escutas e ameaças. E também já caiu um elemento. Aqui caiu.
Se Cavaco Silva toma como paradigma da transparência para este caso o seu de Belém ... esperemos uma transparência do mais opaca que se pode ter.
Quem deve andar com insónias é Passos Coelho. Amanha vai a provas.
2012-05-28
Berlim na Rússia
Se não visse não acreditava. A Srª Merkel confrontada numa escola com a necessidade de localizar no mapa, para os alunos, as meninas e os meninos à sua frente, a localização de Berlim, meteu o dedo por aí acima para os arredores de Moscovo. Perante as risadas e o embaraço a professora teve de lhe puxar o dedo pela Rússia abaixo, atravessar com ele toda a Bielorússia e toda a Polónia até lho poisar na capital da reino da Prússia, a meio da antiga RDA, de onde ela governa a Alemanha, a Zona Euro da UE incluindo Portugal, através do "bom aluno" Passos Coelho e uns fiscais conhecidos por tróica .
Podia estar meio distraída e ter esticado demasiado o braço. Mas não foi isso pois exclamou para a professora: mas a Rússia está aqui tão perto?!
Nos EU, em tempos idos, um candidato a presidente perante a afirmação da grandeza territorial da União Soviética exclamou: assim grande, grande, mas como? Como o Texas?
Oh Relvas, oh Relvas Badajoz olho da rua à vista
Roubei a foto
aqui: à Ana Vidigal, num post a que deu o título "Jornalista pressionando Relvas" a quem deixo os meus parabéns, pelo humor fino e assertivo. Parabéns Ana Vidigal.
Como se desenvolverá o "VATILEAKS"?
A igreja tem muitos séculos de muita experiência como toda a gente sabe. Acabo de ler no DN, citando o Corriere della Sera, que "Ninguém acredita que o mordomo tenha sido capaz de orquestrar sozinho o Vatileaks".
As investigações prosseguem ao mais alto nível. O jornal italiano avança que há, pelo uma jovem mulher "toupeira" a trabalhar no Vaticano. Mas ainda aponta como hipótese que Paolo Gabriele, o mordomo do Papa, agora em prisão, "tenha caído numa armadilha, ou seja, os documentos podem ter sido "plantados" no seu apartamento, ou então, executou ordens vindas de cima. Quando se é fiel, é-se também obediente".
As informações lidas apontam que se aguardam mais prisões desta vez a alto nível. As expectativas são grandes. No tempo do cardeal Marcinkus, ele pelo menos não foi preso, "emigrou" para o seu país de origem.
Quem sabe se agora já não estarão em marcha outras "emigrações".
Queima e queima muito quando os temas são a corrupção e o nepotismo e algumas alianças pontuais, é certo, entre a Igreja e Berlusconi, no sentido desta não pagar impostos sobre os seus imóveis. Se este entendimento se deu entre os dois que protecção deu a igreja a Berlusconi. Não estou a visualizar este apoio de Berlusconi sem contrapartidas.
Etiquetas: Berlusconi., Paolo Gabriele, Vatileaks
2012-05-27
La Grèce doit-elle sortir de l'euro?
A court terme, la sortie de l’euro serait dramatique pour une grande partie
des Grecs et très risquée pour les autres Européens. Mais il existe une solution
alternative, qui porte un nom maudit : l’inflation.
La Grèce a un problème de court terme : faut-il sortir de l’euro ? La grande
majorité des Grecs (les trois quarts, selon les sondages d’opinion) s’y
refusent, craignant à la fois d’y perdre ce qui reste de leurs économies et
d’être encore davantage étranglés par le poids des dettes extérieures (privées
et publiques) libellées en euros ou en dollars. Car, inévitablement, la drachme
se dévaloriserait sensiblement (d’un tiers au moins, et peut-être davantage) par
rapport à ces devises, renchérissant d’autant le coût réel de leur
remboursement. Mais les partisans de la sortie font valoir que, justement, cette
dévalorisation de la drachme résoudrait en même temps le problème de long terme
de la Grèce. En effet, depuis la création de l’euro, la Grèce a vu ses prix à la
consommation – reflet plus ou moins fidèle de ses prix à la production –
progresser de 44 %, contre 23 % dans l’ensemble de la zone euro (22 % en France,
20 % en Allemagne). Si la Grèce avait conservé sa monnaie nationale, la drachme,
le surplus d’inflation du pays aurait pu être effacé par une baisse du taux de
change drachme/euro. Mais, avec la monnaie unique, ce n’était plus possible, et
la compétitivité extérieure de la Grèce a fondu comme neige au soleil, réduisant
d’autant l’activité économique intérieure. Revenir à la drachme permettrait
d’effacer cette perte de compétitivité extérieure, donc – témoin l’Argentine –
de stimuler l’activité intérieure après une ou deux années de transition
douloureuse. Et la Grèce pourrait ainsi renouer avec la croissance au lieu de
voir la déflation démolir peu à peu son système productif, comme c’est le cas
actuellement (le PIB a baissé de 6,2 % entre le quatrième trimestre 2011 et le
premier trimestre 2012).
On voit donc le dilemme : à court terme, la sortie de l’euro serait
dramatique pour une partie importante de la population grecque, mais à long
terme, elle leur apporterait l’oxygène dont le pays est aujourd’hui privé.
Il existe cependant une solution alternative, qui permettrait de concilier
court et long termes, tout en évitant les effets collatéraux d’une sortie de la
Grèce sur le reste de la zone euro, qui en serait fortement fragilisée, la
spéculation s’en prenant alors à l’Espagne, voire à l’Italie. Cette solution a
un nom maudit : l’inflation. Imaginons un instant que, dans le nord de la zone
euro (Allemagne, Autriche, Finlande, Pays-Bas, Belgique, France), l’inflation
passe de 2 % par an à 4 %. Et que, dans le sud de la même zone (Italie, Espagne,
Grèce, Portugal, Chypre, Malte), il passe de 4 % à 0 %. Dans l’ensemble de la
zone, le rythme d’inflation ne serait pas modifié, mais, chaque année, la
compétitivité extérieure des pays du sud gagnerait 4 %, et en quatre ou cinq
ans, l’activité économique y regagnerait les couleurs qu’elle a perdues. On
pourrait même aller plus loin, et fixer comme objectif annuel d’inflation pour
l’ensemble de la zone non pas 2 % ou moins, mais 3 % ou plus. Pour cela, il
faudrait modifier les règles de la Banque centrale européenne, qui,
actuellement, a pour seul objectif officiel, la stabilité des prix (en fait un
peu entre 1 % et 2 %, pour ne pas étrangler les activités à gains de
productivité inexistants ou faibles, comme la santé, l’éducation ou les services
aux personnes). Supposons que ce soit possible. Dans ce cas, la valeur réelle
des dettes (publiques et privées) se réduirait chaque année de 3 %,
mécaniquement. Certes, les taux d’intérêt demandés par les financeurs
s’ajusteraient … sauf si la BCE continuait de maintenir un taux directeur
faible. Comme toujours, dans les situations où les dettes se dévalorisent, les
investissements financés par emprunt (public ou privé) seraient encouragés, et
l’ensemble de la zone renouerait avec davantage de dynamisme économique tout en
voyant sa dette publique diminuer en proportion de son PIB, à la fois grâce à la
hausse des prix et à la reprise de l’activité. Exactement l’inverse de ce qui se
passe actuellement en Grèce (et en Espagne) où, du fait de la politique de
baisse des prix et des salaires qui y est menée – politique dite
« déflationniste » –, l’activité recule et les dettes se revalorisent.
Cette solution d’une inflation plus forte a été proposée par Jean
Pisani-Ferry dans Le réveil des démons (Fayard, 2011). Mais il
suggérait alors, sous le terme de « dévaluation interne », d’y ajouter, pour les
pays du sud, une réduction des prix et des salaires, ce que, dans le langage
habituel, on appelle plutôt une déflation, avec toutes les conséquences sociales
que cela implique. Je le lui avais fait remarquer, et je vois avec plaisir qu’il
a rééquilibré la proposition, en écrivant dans Le Monde (mardi 15 mai)
que « demander au sud de regagner la compétitivité par la déflation serait
l’emprisonner dans le double carcan de la dette publique et de la dette
privée » et, un peu loin, qu’« il faut, pour les années à venir,
nettement moins de hausse des prix au sud et nettement plus au nord ».
Utopie ? Sans doute pour partie. Mais les idées évoluent, et, en Allemagne même,
de plus en plus de voix s’élèvent pour rompre avec les politiques qui
privilégient la stabilité des prix ou la déflation sans considération pour leur
coût social. Ainsi, le ministre de l’Economie allemand, Wolfgang Schäuble,
avance qu’une inflation de 3 % « ne serait pas un drame ». La
Bundesbank, pourtant renommée pour son orthodoxie monétaire, a provoqué la
surprise outre-Rhin (et dans le reste de l’Europe) en estimant qu’une légère
accélération de la hausse des prix pourrait être envisageable. Les métallos
allemands viennent d’obtenir une hausse des salaires (longtemps bloqués, il est
vrai) de 4,3 %. Bref, la prise de conscience que l’économique ne peut faire fi
du social, que les sacrifices imposés au sud risquent de faire exploser la zone
euro tandis que la marche forcée vers « la règle d’or » peut enfoncer le nord
dans une profonde récession, tout cela chemine (un peu trop lentement, hélas)
dans les esprits des responsables politiques. Entre le Charybde de la dette et
le Scylla de la déflation, l’inflation au nord accompagnée d’une rigueur
raisonnable mais pas inhumaine au sud apparaît de plus en plus comme la
troisième voie raisonnable pour sortir l’Europe de l’impasse.
Denis Clerc
Article Web - 24 mai 2012
Bateram à porta do Vaticano, trim.... trim,
Refazendo o quadro. Alguém bateu à porta do Vaticano com o objectivo de obter umas informações sobre a vida dos cardeais. Uma "troupe" dissidente de cardeais que se está a organizar para nas próximas eleições pôr um papa de outra matriz tenta explorar esta oportunidade.
Quem bateu à porta ia noutra, os jogos do "IOR", o nome com algum disfarce, para o Banco do Vaticano que já causou imensos prejuízos no passado, por exemplo, no tempo do cardeal americano Marcinkus, (coitado do Roberto Calvi).
Agora os objectivos iam dar ao mesmo. O Vaticano com outros nomes joga com os chamados paraísos fiscais e zonas francas. Por ali corre muito dinheiro e há que reproduzi-lo a taxas simpáticas e garantidas.
Mas tudo isto requer recolha de informações e a respectiva circulação orientada para consumo dos interessados.
A situação ainda não é clara. Mas terá sido preso neste momento alguém cujos objectivos ainda não estão bem identificados. É acusado de passar informação preciosa, desrespeitando algumas regras que desprestigiam a sua entidade patronal. Está preso e como diz a nossa lei até prova de culpa é inocente. Mas nas regras do Vaticano primeiro prende-se e depois averigua-se.
Tudo bem. Um funcionário que exorbitou as funções. Espiou, actuou e certamente lá mais para a frente estaria na empresa a que forneceu informação (estou aqui a reproduzir o caso nacional).
O Homem preso teve azar. Portugal é um paraíso neste domínio. Um espião nunca pode ser preso por definição, mesmo quando comete as maiores barbaridades. Azar em Portugal de novo diferente mesmo quando apanhado.. O dito "espião" sai e entra e até continua a enviar uns email ao cardeal da pasta.
2012-05-26
A Madeira de Alberto João Jardim
Este artigo saiu no Expresso de hoje e segundo este semanário tem por base um relatório do Tribunal de Contas ainda confidencial.
É apenas uma pálida ideia de como a governação de Jardim se portou no terreno em termos de responsabilidade da gestão dos dinheiros públicos.
No artigo publicado constam ainda os seguintes números que ajudam a compreender o descalabro e o "método de rigor" usado na contabilização das finanças públicas da Madeira.
340 milhões de euros
em obras públicas realizadas em 2004 mas cujas despesas foram apenas registadas no sistema informático do governo regional da Madeira entre 2005 e 2011.
38 milhões de euros
em obras públicas realizadas em 2004 mas cujas facturas foram emitidas apenas em 2011
19,6 milhões de euros
em obras públicas feitas entre 2003 e 2010 que ainda não têm factura emitida. Desse total, 12,5 milhões de euros não têm datas associadas.
A Madeira numa triste sina
A "verdade" de Miguel Relvas no Parlamento
Nove sms e três encontros entre Relvas e Silva Carvalho - TV & Media - DN
Juntando o caso "Público" temos um ministro a dar cartas neste governo.
Passos Coelho vai ter muito que penar para suster este seu braço direito que só em sítios públicos falou com Silva Caravalho e que não pressinou os jornalistas do Público, o que é verdade, acredito.
As más línguas dizem que é assim. Ele não pressionou o Público. A sua ambição é pressionar ou tentar pressionar os jornalistas de todos os meios de comunicação. Parece mesmo ser um grande campeão nesta matéria. Aprendeu muito cedo a matéria teórica e no dia a dia tenta praticá-la.
2012-05-25
Pour en finir avec les prétentions des économistes en matière d’anticipation de la crise
HUMEUR
“La question de l’Euro” n’est pas une question économique, pas plus d’ailleurs que la crise systémique globale actuelle. Ce sont des phénomènes complexes impliquant géopolitique, politique, phénomènes sociaux, financiers ... et également économiques (mais certainement pas pour plus de 20% de ces causes
fondamentales). L’approche “économiste” est donc aveugle à 80% au moins aux causes de la crise.
Par sa nature pluridisciplinaire et son ancrage dans la prise de décision politique, la méthode d’anticipation politique a jusqu’à présent démontré une très bonne capacité prédictive, au contraire des économistes qui n’ont pas vu venir la crise, ni anticipé son évolution.
Sans compter que l’économie n’est pas une science, mais une technique. Les théories économiques sont toutes fondées sur des hypothèses idéologiques. généralement non explicitées. qui maquillent en fait des “visions du monde” sous couvert d’approche “scientifique”.
Pour en revenir à l’Euro, c’était jusqu’à présent une monnaie sans patrie... ce qui la rendait vulnérable puisqu’une monnaie est d’abord le produit d’une volonté politique. Avec l’émergence de l’Euroland, la devise européenne se trouve enfin dotée d’une base politique (et donc progressivement fiscale, financière, régulatrice,...) qui était son handicap majeur.
Par ailleurs, contrairement aux attentes anglo-saxonnes, loin de se disloquer, la zone Euro fait preuve d’une volonté farouche de s’adapter.
Le reste sera écrit par les années à venir ; mais comme nous le disons dans le GEAB N°60, quand on a la puissance économique, financière, commerciale, démographique de l’Europe, c’est ensuite la volonté qui fait la différence.
Dans cette crise d’ampleur historique, les analyses des économistes n’ont donc pratiquement aucun intérêt. D’ailleurs, reprenez leurs déclarations depuis 2006 ... et vous verrez : c’est édifiant !
"Corrupção" na Assembleia da República?
Perante uma afirmação desta gravidade então a Assembleia deveria criar uma Comissão para esclarecer o país sobre isto.
Sobre o BPN já é a segunda Comissão que a nada conduzirá.
2012-05-22
Os deuses começam a estar loucos
Crise grega
O economista chefe do Deutsche Bank, Thomas Mayer, propôs, durante um
colóquio organizado pelo diário alemão
Die Welt, a
introdução de um “Geuro” para a Grécia, uma moeda paralela ao euro que
substituiria a moeda única naquele país “para permitir à Grécia desvalorizar a
sua moeda continuando dentro da zona euro”,
explica o
EUobserver:
Se a esquerda radical ganhar as eleições de 17 de junho e mantiver a sua
promessa de rejeitar o plano de ajuda de 130 mil milhões de euros e os cortes
orçamentais incluídos nessa ajuda, a Grécia poderá continuar na zona euro sem
ajuda financeira, desde que introduza uma divisa paralela. O “geuro” seria
constituído por promessas de pagamento, uma forma de título de dívida, emitido
pelo Governo, que podia ser revendido. Seria muito desvalorizado em relação ao
euro mas permitiria ao Governo ganhar tempo para levar a cabo as reformas e
fazer votar os cortes orçamentais. […] Uma condição essencial para que este
cenário funcione é que a ajuda dos outros países da zona euro e do FMI continue
a chegar. […] Os bancos gregos, privados de liquidez, também teriam a
necessidade de serem salvos através da criação de um ‘bad bank’
europeu.
Angela Merkel contra o resto do mundo
Visto da Alemanha
“A Europa continua a ser o ponto quente da economia
mundial. Na opinião dos seus mais importantes parceiros, só a Alemanha
pode fornecer uma solução – e a austeridade de Merkel é tida como um
erro grave”, escreve o Süddeutsche Zeitung.
“Os conflitos em torno da austeridade e do crescimento mantiveram-se na
mesma após a cimeira de Camp David: de um lado está a Alemanha, do
outro, o resto do mundo”, continua o diário liberal.
A política de Merkel talvez seja popular na Alemanha mas,
no exterior – e isso é o mais importante – a chanceler está isolada. A
Alemanha e a França têm de encontrar um novo equilíbrio político para
funcionarem no centro da crise europeia. Não se trata de realizar um
gigantesco plano de conjuntura. Mas Berlim tem de tornar possível uma
política de crescimento na Europa. É esta a mensagem de Camp David.
Fonte: Press Europe
2012-05-20
Uma nova variante do polvo português
Com a prisão de Michel Canals, na cidade
do Porto, este banqueiro suíço que, segundo a comunicação social, “alegadamente
liderava uma rede internacional de branqueamento de capitais”, mais uma
variante do “polvo português” ameaça vir à superfície.
Parece que nas malhas desta rede estarão
figuras ligadas ao caso BPN e muitas outras graúdas da alta roda política.
Francamente estou curioso que a lista
venha à luz do dia.
Gostava de ter uma grande surpresa.
Daquelas de abrir a boca e quase não a conseguir fechar. Há por aí tanto boato.
O mundo cinzentão da alta política deve
estar incomodado e a sentir-se apertado. Oxalá que resulte. Uns mesitos na PJ e
depois pulseira electrónica ficava bem em mais uns Duarte's Lima que, segundo consta, andam por aí.
Este BPN guarda um manancial de
novidades. Uma grande parte dos governantes de Cavaco Silva eram de facto muito
imaginativos nestes caminhos tortuosos “do venha a nós”.
Etiquetas: BPN, descoberta, Os tentáculos do polvo
2012-05-19
Miguel Relvas ameaça jornalista e o jornal Público
O Ministro Miguel Relvas, que tutela a comunicação social, ameaçou o jornal Público de boicote por parte do Governo e ameaçou a jornalista Maria José Oliveira de que divulgaria, na Internet, dados da vida privada, para impedir a publicação por esta jornalista, naquele jornal, de uma notícia sobre incongruências das declarações do governante ao Parlamento sobre o caso das "Secretas".
É o que afirma o comunicado do Conselho de Redação do Público que repudia as pressões do ministro e o comportamento da direção do Público que "se vergou às suas intoleráveis pressões".
(Fonte:
http://www.agenciafinanceira.iol.pt/economia/relvas-ameaca-publico-secretas-noticia-ministro/1349417-4058.html )
2012-05-18
Esquerda Livre promove encontros - Politica - DN.
A esquerda portuguesa, neste caso; precisa de uns abanos fortes para sair dos casulos. Daí ser positivo o aparecimento de movimentos mesmo temporários que alertem para alternativas nesta fase de crise em que poucos vislumbram as saídas e em que o mais expectável é o empobrecimento massivo dadas as políticas em marcha.
2012-05-17
O problema da Europa é a Europa
A Europa pela mão da dupla Merkosy impôs aos parceiros
europeus com apoio de alguns outros países, um circulo vicioso, onde predominava a
ortodoxia da austeridade em vez de uma política ajustada ao momento e dimensão de crise.
Esta crise não podia ser superada pela austeridade. A política que se impunha/impõe exigia/exige repensar e reinventar a Europa conjugando a contenção e uma grande racionalidade nas despesas públicas com medidas de crescimento e criação de emprego. Exige a definição de regras ao sistema financeiro e o afastamento da subordinação às agências de rating que tiveram o pior desempenho no desencadear da crise. São elas o instrumento dos "ditos mercados", o grande capital financeiro mundial.
Entre outras decisões era/é fundamental a rejeição do papel dessas agências. Quem pode dar crédito a incompetentes a não ser quem é incompetente ou tem benefícios em o parecer. Só pode mesmo. E estas agências o foram no passado recente. Era bom averiguar ao serviço de quem, não seria mesmo desses mercados?
Vejamos a actuação da Europa no caso da Grécia.
Porque
temia as consequências de um afundamento da Grécia e as consequências sobre o euro, a Europa foi emprestando embora a contragosto mais dinheiro do que devia na base de um não programa de renovação da economia grega, mas num programa de resgate que só ajudou a a fundar ainda mais a Grécia.
A Grécia não tinha estruturas montadas para actuar de forma eficaz em diferentes frentes como a fiscalidade, a contenção das despesas públicas de forma harmoniosa, o relançamento da economia em bases renovadas, ...
Nestas condições como poderia a Grécia sair da situação em que mergulhou?
Foi a Europa a principal causa da situação em que está a Grécia porque não se aplicou na escolha dos remédios a aplicar. O mais grave é que com a dupla Merkosy não havia alternativa.
Agora até já se fala em agenda de crescimento.
Dois minutos e aprende muito de economia
Quem é o professor? Um "perigosíssimo esquerdista"?
Sim, por esta forma de explicar, não há dúvidas nem pasteis de nata lá chegam.
Robert Reich que vemos neste vídeo foi Secretário de Estado americano do Trabalho com Clinton
http://www.youtube.com/watch?v=AyxTSI1q1XU&feature=player_embedded
O que esperar do PSD/Madeira?
Do PSD/Madeira e do seu chefe é de esperar sempre tudo o que seja abstruso.
Mais uma desta vez sobre um voto de pesar por Miguel Portas proposto pelo CDS/Madeira
Deputados PSD abandonam voto de pesar por Miguel Portas - Politica - DN
2012-05-16
Sou por uma auditoria à dívida pública
Uma auditoria para quê?Com que objectivos?
Uma discussão que vale a pena ter em termos teóricos e concretos.
Em termos teóricos por uma razão simples. Nem toda a dívida pública contraída é legítima, ou seja, foi contraída de forma a beneficiar os interesses do País, sejam eles quais fossem, pelo que neste aspecto haverá que chegar a parâmetros de enquadramento sobre a legitimidade e a não legitimidade da dívida. Que critérios tornam uma dívida legítima ou ilegítima?
Contudo há casos concretos que não oferecem dúvidas sobre a sua ilegitimidade.
O caso flagrante, aceite penso que por toda a gente é o BPN.
Os roubos praticados no BPN por um grupo de pessoas bem identificado repercutiram-se no aumento da dívida pública portuguesa em montante ainda não determinado.
Trata-se de um caso claro em que não devem ser os contribuintes a suportar e a saldar esta dívida, como está a suceder. Outros casos mais seriam fáceis de identificar..
A Justiça ainda não funcionou, neste caso, não se entendem as razões.
Agora constituiu-se mais uma Comissão a nível da AR que francamente não irá muito longe, quando a maior eficácia no seguimento deste caso era avaliar a quanto monta. Fazer-se justiça e os potenciais condenados obrigados a pagar. Têm bens mobiliários e imobiliários e deveriam esses bens reverter para o Estado.
É o mínimo a fazer. Porque razão temos nós contribuintes ser obrigados a pagar estes roubos?
Bastava a justiça portuguesa funcionar um pouco à americana e este caso já estaria resolvido
2012-05-15
RTP Açores - debate austeridade e autonomias
2012-05-14
Que tal trocarmos a Srª Merkel pela Srª Kraft
Segundo as primeiras projeções oficiais:
SPD - 38,3% (34,5)
CDU - 25,8% (34,6)
Verdes - 12,2% (12,1)
Piratas - 7,7% (1,6)
Liberais - 8,4% (6,7)
Entre parêntesis os resultados de 2010
O SPD (Partido Social-Democrata Alemão) ganhou neste domingo (2012-05-13) as eleições legislativas no Estado federado da Renânia do Norte-Vestfália, o mais populoso, com 18 milhões de habitantes, superando amplamente a CDU (União Democrata-Cristã) da chanceler Angela Merkel que teve o pior resultado de sua história nesse território,
Com estes resultados, Hannelore Kraft, presidente regional do SPD e primeira-ministra da Renânia do Norte-Vestfália (na imagem) poderá governar confortavelmente em coligação com Os Verdes e a sua líder Sylvia Löhrmann, já que os dois partidos somaram uma confortável maioria absoluta.
Para a derrota contribuiu muito o ministro federal do Meio Ambiente, Norbert Röttgen que até chegou a explicar - para gáudio da adversária do SPD Hannelore Kraft - que estas eleições seriam um barómetro das eleições gerais de 2013. Se se vier a provar que este Röttgen tem razão é mais uma prova da existência de Deus.
Etiquetas: eleições Renânia do Norte-Vestfália, Hannelore Kraft, Vitória do SPD
2012-05-13
Homenagem a 56 portugueses mortos pelo franquismo
"Os nomes de 56 cidadãos nacionais que morreram na Galiza às mãos do regime totalitário espanhol foram gravados num monumento evocativo que ontem (2012-05-12) foi inaugurado em Monção." ...
"Ao início da tarde, os nomes foram lidos durante longos minutos por membros da Associação de Amigos da República de Ourense, União de Resistência antifascistas de Portugal e da Associação Não Apaguem a Memória.
"As conquistas democráticas para as quais contribuíram aqueles que lutaram contra o fascismo em Espanha estão ameaçadas pela actual conjuntura europeia, que afecta os dois países ibéricos. A ideia foi ontem defendida durante uma homenagem aos 56 portugueses ..." [Aqui] ou [aqui]Etiquetas: 56 portugueses assassinados., Franquismo, Homenagem Monção 2012
Onde pára Diogo Leite Campos?
Sabem quem é?
Um homem professor de direito e reputado fiscalista pelos ricos. Andava muito na entourage de Passos Coelho. Tenho a ideia de que terá sido ou é Vice do PSD com Passos Coelho.
Acho uma excelente definição, ainda aplicável a algumas outras personalidades dos nossos ecrãs televisivos, alguns opinions makers que correm a explicar os benefícios das políticas de austeridade.
Em França, em certos meios da sociedade, questiona-se de algum tempo a esta parte, semelhante situação de certos opinions makers. Até saiu um livro muito virado para o papel dos economistas nos ecrãs, les imposteurs de l'économie do jornalista Laurent Mauduit
Não será que Diogo Leite Campos que entrou em fase de penumbra esteja on going para ir ensinar alguma multinacional radicada no País sobre a questão dos impostos em Portugal?
Estigma, estigma quem és tu - Opinião - DN
2012-05-12
Sobre"os ditos mercados" que tudo comandam
(clicar sobre para ler )
Este artigo de Anselmo Borges, publicado no DN de hoje é muito interessante, de muitos ângulos. Primeiro e acima de tudo pelo conteúdo. Mas também comenta e este é o outro ângulo a relevar que, em Portugal, os Teólogos não costumam pronunciar-se sobre a crise económica financeira, salvo raríssimas excepções, fazendo o contraste com Espanha de que refere exemplos vários.
Esta diferença de posicionamento entre os teólogos de Portugal e Espanha merecia uma abordagem de quem domine a situação. Umas reflexões de Anselmo Borges sobre este panorama que de certeza tem opinião muito fundamentada seria elucidativo porque nos interrogamos: Essas limitações vêm do interior da igreja. são desinteresse dos teólogos portugueses que se colocam no campo da mística e acima da vida dos povos, são adeptos do amem ao poder político e portanto tudo quanto esse poder faz, está bem,,, enfim uma multiplicidade de interrogações sobre esta postura pouco reactiva por parte dos teólogos e filósofos da Igreja.
Etiquetas: Crise económica, Igreja, Teólogos
2012-05-11
Cafés-philo - Café des Phares
Vamos dar-lhe uma oportunidade! Está bem?
Foi hoje. No Centro Cultural de Belém, em Lisboa, na tomada de posse do Conselho para o Empreendedorismo e a Inovação. A lamentável criatura, segundo
aqui se relata, lamentou que «a cultura média» em Portugal seja a «da aversão ao risco» e que os jovens licenciados portugueses prefiram, na sua maioria, «ser trabalhadores por conta de outrem do que empreendedores».
E considerou que o desemprego não tem de ser encarado como
negativo e pode ser «uma oportunidade para mudar de vida».
"Passos Coelho referiu-se em especial aos portugueses que estão sem emprego:
«Estar desempregado não pode ser, para muita gente, como é ainda hoje em
Portugal, um sinal negativo. Despedir-se ou ser despedido não tem de ser um
estigma, tem de representar também uma oportunidade para mudar de vida, tem de
representar uma livre escolha também, uma mobilidade da própria sociedade».
É esta constrangedora figura o 1º M que temos. O currículo político foi ser amamentado na JSD e no aparelho partidário e o currículo profissional esgota-se na engorda nuns conselhos de administração oferecidos pelo seu padrinho, o Eng Ângelo Correia. Esta criatura, que da vida dos Portugueses o que conhece é o biberon partidário e altas remunerações de favor, aparece contentinho a dizer estes despautérios, sem se aperceber que ofende o país, ofende os portugueses à beira do desespero com a maior taxa de desemprego e de empobrecimento das últimas quatro décadas.
Dizem-me que o homenzinho não é propriamente um tolo inocente. Pouca cultura, ignorância, é certo, mas muita espertice saloia, mentir como técnica. Mentir, mentir com ar de bom rapaz. Como quem fala verdade. Que enfim... faz o mesmo que tantos outros. Espreita de que lado sopra o vento (é de Berlim? É dos Espírito Santos, dos Soares dos Santos, das Isabel dos Santos? Santos, Santos, Santos, donos do país?) e trata da vidinha. Da sua e dos seus. Aliás, para que havia de servir a política? Né!
Vamos despedí-lo?! Dar-lhe uma oportunidade!
A On-going e os espiões portugueses
A On-going faz lembrar, em termos políticos, o BPN.
São muitos os deputados e dirigentes do PSD que transitaram do activo para esta empresa, pouco antes de rebentar o escândalo da "troca de favores" entre o SIED e esta empresa, "troca de favores" essa capitaneada pelo ex-director do SIED, Jorge Silva Carvalho que, à custa desse serviço prestado, garantiu emprego a preço chorudo e que além disso segundo diz a acusação continuou a servir-se dos seus contactos no SIED para mais e mais favores. Um serviço de segurança pública capturado por interesses privados e pessoais.
No meio disto o que não ficou bem esclarecido são os motivos da On-going. Com que fins utilizava as informações fornecidas pelos espiões?
Segundo afirmam os entendidos e estudiosos da matéria, como ainda ontem apreciei na Quadratura do Círculo,esta "privatização" de um serviço público para fins inconfessáveis é mesmo muito grave pois abala os alicerces da própria democracia. Segundo Pacheco Pereira os serviços de informação da República Portuguesa foram postos em causa, descredibilizados interna e externamente e independentemente dos efeitos penais, que se adivinham serem pouco penosos, é a situação política que foi posta em causa.
Etiquetas: Espiões, On-going, PSD
2012-05-09
O "carniceiro" de Alberto João Jardim...
Vítor Gaspar e Alberto João Jardim são duas personagens que não "conjugam". Gaspar aquela personagem responsável, organizada e certinha e Alberto João um inconsequente irresponsável que manda "bocas" irresponsáveis a toda a gente e a toda a hora. Toda a gente se lembra das bocas sobre o Sr. Silva, ou seja, Cavaco Silva.
Hoje Vítor Gaspar na Comissão do Orçamento e Finanças da AR pôs a nu o risco que é para o défice orçamental a situação de falência e da dívida da grande maioria das empresas do sector público da RAM da responsabilidade de Alberto João.
Sobre isso transcrevo o DNotícias da Madeira:
"O ministro das Finanças Vítor Gaspar elegeu hoje as
empresas públicas da Região Autónoma da Madeira como um dos maiores
riscos que podem aumentar o défice orçamental e o nível de dívida
pública devido à sua situação financeira e a cláusulas de 'rating'
incluídos nos contratos.
A confirmação do risco das contas da Região no agravamento das contas
do país foi feito na intervenção inicial do governante na comissão do
Orçamento e Finanças, onde está a apresentar o Documento de Estratégia
Orçamental do Governo (DEO) 2012-1016.
No documento, o Executivo diz que existem diversos riscos que podem
ter um "especial impacto ao nível da contabilidade nacional e/ou
necessidades financeiras/tesouraria anuais da RAM [Região Autónoma da
Madeira]" e aponta mesmo alguns destes como tendo uma elevada
probabilidade de se materializarem. Entre os principais riscos, o
Governo destaca o acionamento dos chamados 'rating triggers' --
cláusulas incluídas nos contratos que podem ser acionadas em caso de
mudança nas notações dadas pelas agências -- dos empréstimos e das
coberturas de risco de taxa de juro, tanto da região como das empresas
públicas da Região, e ainda a incapacidade para as empresas públicas
financiarem a sua actividade e refinanciarem a sua dívida.
A audição a Vítor Gaspar ficou, contudo, marcada pelas críticas da
oposição ao Governo por ter enviado a Bruxelas novas previsões sobre
desemprego antes de as partilhar com o Parlamento. Os documentos foram
distribuídos aos deputados durante os trabalhos, mas o PS chegou mesmo a
pedir o adiamento desta audição".
Juizes em causa própria
Sem tempo para pensar (é uma desculpa, percebe-se logo) nem pachorra para "chover no molhado" isto é, verberar os próceres paroquianos de todas as Merkels deste mundo, transcrevo este inspirado texto que o Ferreira Fernandes pôs hoje na contracapa do DN.
Para vos poupar o clique no link transcrevo:
"Ontem, todo orgulhoso, passeei o dia parecido com o Kirk Douglas. Na verdade, eu
era só parecido no chapéu, o de Kirk Douglas a fazer de jornalista em O Grande
Carnaval, de Billy Wilder. Ontem, eu também andei de chapéu com um anúncio
metido na faixa, dizendo "PRESS", em inglês para ser mais notório. Bem ouvi os
suspiros e as admirações. Claro, ia ali um jornalista! Isto é, um tipo entre o
Batman, o Pimpinela Escarlate e um jovem hacker. Nós, os jornalistas, subimos as
paredes, violamos as gavetas e esmiuçamos os computadores para converter os
segredos judiciais em manchetes. Sozinhos! Não sou eu a gabar-me, foram os
tribunais que o reconheceram. Não leram? O Emídio Rangel sugerira que tudo nos
era dado de mão beijada - ele falou de juízes e outros magistrados. Como se nós
fôssemos simples pombos-correio aos quais se deita milho! Felizmente, um
tribunal, com juiz e outros magistrados, disse que os juízes e outros
magistrados não têm nada a ver com o milagre da multiplicação das fugas de
informação. Condenou Rangel a pagar 106 mil euros aos magistrados. (É essa a
tabela para um condutor bêbado que esmaga uma grávida, não é?) Mas o importante
é que ficou a saber-se que os papéis sigilosos vou eu desencantá-los, sozinho.
Não há fugas de informação, só capturas. Daí o orgulho do meu chapéu: "PRESS",
de arrojado investigador. A partir de agora, só o tiro de madrugada, quando vou
ao DIAP vasculhar mais uns processos.
2012-05-08
NEONAZIS GREGOS - Amanhecer Dourado - obrigam jornalistas a ficar de pé na primeira conferência de Imprensa
Que peut faire François Hollande ?
François Hollande ne pourra pas laisser filer les déficits, mais il n'est pas
non plus condamné à poursuivre une politique d'austérité pour autant, s'il
augmente les impôts des plus aisés, explique Guillaume Duval dans sa chronique
sur Radio Nova.
Les Français ont donc élu le 6 mai dernier un nouveau président. Mais
peut-il faire une autre politique que celle de Nicolas Sarkozy compte tenu des
menaces que les spéculateurs font peser sur la dette française ?
Vous avez raison. La crise actuelle limite ses marges de manœuvre. Il ne peut
rien faire et rien dire en particulier qui pourrait laisser penser qu’il
s’apprête à laisser filer les déficits publics. Sinon cela risque de nourrir une
spéculation qui devrait de toute façon s’activer contre la dette française, bien
que les socialistes au pouvoir entre 1997 et 2001 aient été les seuls à réduire
l’endettement du pays depuis vingt ans.
Il devra donc au bout du compte faire la même politique d’austérité
que Nicolas Sarkozy…
Pas nécessairement. Nicolas Sarkozy voulait mettre l’accent sur la baisse des
dépenses publiques, et en particulier des dépenses sociales. François Hollande
veut lui plutôt augmenter les impôts sur les revenus des plus aisés. Il pourrait
arriver ainsi à des résultats analogues en termes de limitation des déficits
publics tout en menant une politique très différente du point de vue des couches
sociales mises à contribution. De plus, en ciblant les plus riches, ceux-ci
devraient surtout puiser dans leur épargne pour payer ces impôts
supplémentaires, ce qui permettrait de limiter le coup de frein à l’activité. Il
y a de la marge en effet de ce côté-là car les Français les plus aisés sont des
champions du monde de l’épargne…
D’accord mais en termes de pouvoir d’achat ou d’emploi il ne pourra
pas faire grand chose…
Ces marges de manœuvres sont limitées, c’est vrai. Il pourra peut-être donner
un petit « coup de pouce » au Smic mais celui-ci restera forcément symbolique.
Avec un déficit du commerce extérieur très important et des marges des
entreprises réduites, il faut être prudent sur ce terrain pour ne pas menacer
l’emploi. Par contre, il faudra revenir sur la hausse de la TVA prévue en
octobre prochain par Nicolas Sarkozy qui devait amputer encore plus le pouvoir
d’achat des Français. Il devra aussi revenir sur les subventions massives aux
heures supplémentaires pour financer plutôt des emplois aidés supplémentaires
tout en mettant un coup d’arrêt à la politique de non remplacement d’un
fonctionnaire sur deux afin de soulager un peu le marché du travail.
Et en Europe, le socialiste François Hollande ne pèsera de toute
façon pas grand-chose face à Angela Merkel et à tous les gouvernements de droite
qui l’appuient…
Ca ce n’est pas sûr du tout. Tout d’abord son élection toute fraîche lui
confère une forte légitimité. De plus le redémarrage de la spéculation contre
les dettes publiques espagnole et italienne marque l’échec
final de la politique impulsée par Angela Merkel depuis trois ans avec le
soutien de Nicolas Sarkozy. La mise en place du FESF puis du Mécanisme européen
de stabilité couronnée par la signature du Traité sur la stabilité, la
coordination et la gouvernance (TSCG) sans oublier les interventions massives de
la BCE… Tout cela n’a pas évité le retour de la spéculation parce que
l’austérité budgétaire excessive et généralisée que prône Angela Merkel plombe
trop l’activité. De nombreux gouvernements (de droite) se rendent bien compte
que la politique voulue par Angela Merkel mène l’Europe dans le mur. Confrontés
au couple Merkozy, ils n’avaient pas osé cependant s’y opposer ouvertement
jusque-là. Mais si François Hollande est décidé à remettre en cause cette
politique suicidaire, ils lui donneront bien volontiers un coup de main…
Guillaume Duval
Article Web - 07 mai 2012
EDP - O Estado capturado pelo grande capital
Este artigo de Paulo Morais, hoje no CM, mostra bem quem manda, descaradamente, no Governo de Passos Coelho. Revela bem como o Estado está, ao serviço dos grandes interesses e pôe a nu a consabida precaridade do voto como fonte do poder.
"A EDP beneficia de favores políticos sem limite por parte de políticos sem vergonha.
Por:Paulo Morais, Professor Universtário
O poder da EDP em Portugal atingiu uma dimensão perigosa. Enquanto consumidores de electricidade, estamos hoje indefesos perante um domínio absoluto e arbitrário.
Na factura de electricidade, a par dos seus consumos, as famílias são coagidas a financiar as empresas de energias renováveis, os gastos perdulários em painéis solares ou os investimentos em antenas de energia eólica. Ao onerar as contas de energia com taxas e mais taxas, em benefício próprio ou em proveito do lóbi da energia, a EDP está a exercer um poder tributário, privilégio dos estados.
A sua fúria despesista, a expensas do povo, não pára. A nova e malfadada barragem do rio Tua irá gerar lucros milionários para a EDP porque tem uma rentabilidade garantida pelo Estado, pela via do défice tarifário que todos pagamos.
Acresce que a EDP arroga-se estar à margem da lei. Bem recentemente lançou uma campanha publicitária utilizando ilegalmente crianças, visando a venda de serviços que não têm relação directa com a sua faixa etária. O que é interdito, nos termos da lei da publicidade. A EDP emprega trabalho infantil, lesa a dignidade das crianças, mas fica impune. O que só é possível porque dispõe de uma enorme influência sobre o poder político. Eduardo Catroga, em nome do PSD, advogava a redução das rendas pagas à empresa, para logo a seguir defender, enquanto presidente da eléctrica, a manutenção do seu pagamento. A ministra Assunção Cristas e o deputado Mesquita Nunes estão ligados ao escritório de advogados que assessora a sociedade nos seus maiores processos, enquanto tutelam e fiscalizam negócios em que o estado tem favorecido descaradamente a empresa. O deputado Pedro Pinto é consultor de empresas intimamente dependentes da EDP. E muitos mais.
Há muitos políticos de duas caras. Duas caras… e muitas coroas. Por outro lado, todos quantos se opõem ao poder da eléctrica, como o ex-secretário de estado Henrique Gomes, que pretendia reduzir-lhe as rendas em 165 milhões, são convidados a "demitirem-se".
Como a EDP beneficia de favores políticos sem limite por parte de políticos sem vergonha, estamos condenados à servidão a uma organização que já não é só uma empresa eléctrica. É um estado dentro do estado."
Quando saberemos como andam as contas do governo de João Jardim?
Há uns dias, o Dr. José da Silva Lopes alertava para o facto do governo de Passos Coelho/Paulo Portas nada nos dizer sobre os compromissos com a Madeira.
Lembro-me de ter lido no programa de resgate, eufemisticamente, chamado "programa de ajustamento económico e financeiro da Região Autónoma da Madeira", assinado em 27 de Janeiro de 2012 pelo Presidente do governo regional e pelo secretário regional do plano e finanças que, durante o primeiro trimestre de 2012, o governo regional tinha de executar uma série de medidas, entre elas "uma lista completa com indicação e disponibilização das correspondentes faturas até trinta dias após a assinatura do Programa. As faturas disponibilizadas serão objeto de verificação e circularização pela Inspeção-Geral das Finanças (IGF) devendo a análise final constar de um relatório a concluir até final do primeiro trimestre de 2012".
Este relatório segundo consta do programa seria a base para o GR elaborar um plano de pagamento das dívidas certificadas pela IGF.
Esta e muitas outras medidas estão contempladas no plano de resgate e uma geral que é a da avaliação do desempenho trimestral da ação do GR.
O problema é que nunca mais se ouviu falar de nada ou quase nada. Nada nos diz ter havido qualquer avaliação de desempenho neste 1ºT.
Será que temos razão nesta dúvida?
A ser assim, os dois governos (República e Regional) andam por maus caminhos e até podemos pensar em cenários de outro tipo como o de que o Governo de Passos Coelho se prepara para fechar os olhos aos descalabros da governação de Jardim. Pode ainda pensar-se que o plano de resgate não passou disso mesmo. Mais um documento de maquillage, cujos efeitos foram os aumentos de impostos sobre a população com o regabofe de Jardim a continuar.
Etiquetas: Governo Regional Madeira, Governo República, Plano de resgate abolido?
Relações promíscuas na Madeira
Enquanto a alta hierarquia da igreja madeirense se encontra completamente ao lado de Jardim, dando o nome ao Jornal da Madeira mas onde não tem poder nenhum, há membros do clero madeirense que condenam claramente esta situação.
É o caso do Padre José Rodrigues, mas que não está só. Há muitas vozes desalinhadas com a Alta hierarquia.
Hoje o DN Nacional ouviu o Pe. José Rodrigues sobre a Igreja Funchalense e o Jornal da Madeira, onde "impera" Alberto João Jardim.
Etiquetas: Alberto João Jardim. Alta hierarquia da igreja madeirense
O Pingo Doce e os corvos-marinhos
um ponto é tudo
por FERREIRA FERNANDES
Guilin, no Sul da China, é o lugar mais belo onde já fui, as aguarelas
fazem-lhe justiça.
Em Guilin vi a mais dura das metáforas. À noite, no rio Li,
os pescadores saem em jangadas de bambu e levam cormorões, corvos-marinhos, aos
quais atam o longo pescoço com um fio. O pássaro mergulha, apanha um peixe e
atrapalha-se, não consegue engolir, sufoca. O pescador iça o cormorão para a
jangada, tira-lhe o peixe da garganta estreitada pelo fio. O cormorão, aliviado,
olha grato o pescador que o vai explorar outra e outra vez. Entre uma e outra, o
dono dá-lhe um pedaço de peixe, uma promoção de 50 por cento. Eu conhecia os
cormorões de uma canção, Siracusa, que Yves Montand canta como ninguém,
e, claro, dos desenhos em Corto Maltese. Mas o olhar explorado e grato dos
corvos-marinhos de Guilin vai acompanhar-me pela vida. Como poderia eu criticar
os homens e mulheres que foram anteontem ao Pingo Doce? Seria como criticar os
anões que aceitam entrar em concursos de lançamento. E eu quantas vezes engoli o
que não queria, ao contrário (e igual) da metáfora do cormorão? Mas o
protagonista desta história é quem fez a asneira (se calhar nem intenção houve)
de humilhar num dia que foi conquistado para o respeito. Por isso, na crónica de
ontem, falei da fundação ligada ao Pingo Doce (porque quem faz fundações não
pode fazer lançamentos de anões) e falei do Dia de Natal (porque há dias
especiais, esse e outros, na vida dos homens).
_______________________________
Está
aqui no DN e também aqui no
Blog da Joana Lopes de onde roubei a fotografia
2012-05-07
"O povo tem fome e vai revoltar-se-2"
Esta entrevista faz parte da reportagem do DN sobre as actuais condições de vida da Madeira referida no poste anterior.
Algumas passagens desta entrevista do pároco madeirense José Luís Rodrigues são muito interessantes e arrojadas e não resisto a realçá-las.
Um pároco dizer que é "um lutador pela justiça e não pela caridade" revela um grande sentido social. Mas não se fica por aqui e indo mais além completa o pensamento ao dizer que "a caridade humilha as pessoas. A justiça liberta". São pensamentos muito diferentes do que é tradicional e, se levados a bom termo, estruturantes de um novo tipo de sociedade.
(o título do poste não é meu é da reportagem)
"O povo tem fome e vai revoltar-se"
O Diário de Notícias de hoje traz uma reportagem sobre as condições de vida na Madeira da autoria da jornalista Lília Bernardes.
Como decorre dessa reportagem que só em parte consigo aqui integrar a população da Madeira sentiu muito rapidamente na pele os efeitos do plano de resgate que de facto são dramáticos. Os títulos são muito sugestivos da realidade. Os partidos de direita e de esquerda ouvidos na reportagem são unânimes em dizer que é preciso e urgente mudar o rumo das coisas na Madeira: "a miséria perdeu o medo e a vergonha"
(o título do poste não é meu é da reportagem)
Avaliar os examinadores
A edição de hoje do JN oferece-nos a classificação do Governo de Portugal dos mercados feita por seis ilustres examinadores. O 1º examinador, o economista Rui Moreira, um amigo do Governo, apesar de toda a boa vontade não consegue (sem se desprestigiar excessivamente) dar ao Governo, em média, mais que 13,3 valores, na escala de 1 a 20. Marinho Pinto dá-lhe 9,4 e Pedro Bacelar de Vasconcelos 8, 8 valores.
Achei interessante a classificação que para mim (e para si, suponho) serve sobretudo para classificar os examinadores. Assim, a Rui Moreira, nesta classificação, dou-lhe 8 valores, a Manuel Serrão 8,5, Marinho Pinto leva 14, Alberto Castro 11,5 Daniel Deus Dado leva 13 e Pedro Bacelar de Vasconcleos chega aos 15.
Gov/média 13,3 3,0 9,4 10,5 9,6 8,8
2012-05-06
O estado da corrupção em Portugal
2012-05-04
Ainda o Caso BPN
Sempre escrevi aqui no PUXA que era contra a nacionalização do BPN. Manifestei-me pela nacionalização do grupo na sua totalidade. Continuo convicto que teria sido a melhor solução, embora com a gestão posterior eventualmente a desgraça para o País não teria sido menor.
Agora do que estou convencido e a grande investigação levada a cabo pelo DN esta semana ainda mais enraizou essa minha convicção é de que houve falhas gravíssimas de supervisão por parte do Banco de Portugal neste processo. Que a situação poderia ter sido estancada muito antes se o BP tivesse actuado em devido tempo. E, afinal, os responsáveis do BP pela falta de supervisão e parece segundo a grande investigação referida também influentes na nacionalização do banco não são chamados a este processo?
É gravíssima esta situação ninguém é responsável ou então são todos promovidos como referia o DN.
O povo português devia negar-se a pagar este montante que o BPN está a custar ao país, através da cobrança de impostos, porque resultou de burlas feitas por uns e consentidas por outras. Fomos roubados e burlados e sobre isso só mais um inquérito da AR que a nada conduz?
A democracia é isto? O PR, passando pela AR até ao Governo, existem para nos levar a pagar montantes com origem em roubos e burlas onde todos ou quase todos os burladores ou ladrões são conhecidos?
Etiquetas: A grande burla, BPN
2012-05-01
O comunicado da Presidência da República
Neste Blog escrevi várias vezes sobre Cavaco Silva no tocante às acções adquiridas e posteriormente vendidas à mesma SLN e à sisa no que respeita à sua casa de férias no Algarve, a última das quais aproveitando a boleia proporcionada pela grande investigação do DN sobre as falcatruas praticadas pelos gestores do Grupo SLN e BPN, antes da nacionalização, ou seja a gestão Oliveira Costa.
O meu objectivo consistiu em reavivar um assunto levantado durante a campanha presidencial e não esclarecido.
Face ao comunicado da Presidência da República que acabo de ler (ver link abixo), as questões que coloco de novo são as seguintes e às quais o comunicado não responde: como teve Cavaco Silva Conhecimento daquelas acções se não estavam em Bolsa? Por intermédio de quem as adquiriu, uma vez que as conseguiu a um preço de privilégio? As perguntas podiam ser indefinidas mas estas bastam. Sobre a isenção de sisa, bem de Cavaco Silva dizer pagou mais do que devia, não é o que consta das avaliações. Logo há aqui matéria que enquanto não for explicada e continuando com a fuga á explicacção de facto não abona o bom nome. Senhor Presidente era bom que tudo isto fosse clarificado de uma vez por todas.
Por último tenho dúvidas de que estes assuntos devem ser tratados no site da Presidência. Não se estarão a baralhar e misturar assuntos que são do foro de Cavaco Silva cidadão e de Cavaco Silva PR?
Se fosse na Madeira em todos os dias e horas o Presidente do GR baralha tudo governo com PSD, já nada me espanta. No palácio de Belém faz-me alguma confusão.
Madredeus - Maio Maduro Maio